J’ai moi-même commencé à m’exercer à partir de mes lectures (à l’époque les articles de Cheval Magazine sur les nouveaux maîtres et les livres existants : Pat Parelli, Monty Robert, Klaus Hempfling, Gentili, les éthologues Miller, Jean-Claude Barrey…) mais lors de mon premier stage (chez Sylvia Furrer), je me suis aperçu combien l’œil et le conseil du maître sont irremplaçables. Car nous sommes ici dans une matière vivante, une véritable culture qui met en jeu le savoir mais aussi l’acquisition d’habiletés, le contrôle de soi, l’empathie, etc.
En fait dans l'équitation éthologique, il y a deux choses essentielles à considérer :
L’œil du maître est donc indispensable pour déceler si un problème provient du cheval lui-même ou de son cavalier et savoir mettre en place le remède. Un bon maître doit donc être un homme ou une femme expérimenté, cultivé, aussi fin connaisseur de la nature du cheval que de celle de l'homme.
Janvier 2006
Texte © Stéphane Bigo – Photos © Véronique ou Stéphane Bigo
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